FOALS
Si on les a aimé nerveux et quelques peu déjantés à leurs tous débuts dans un épisode de Skins, on les aime encore davantage depuis que les «poulains» d’Oxford ont pris en assurance et en sophistication. Holy Fire (2013) avait marqué un premier tournant dans leur carrière mais c’est véritablement avec leur dernier opus What went down (2015) qu’ils ont su trouver leur son. Un son ni complètement électro, ni tout à fait rock, porté par la voix hypnotique de son chanteur Yannis Philipakkis. Plus insolent qu’Alt-J, moins psyché que Tame Impala, les Foals ne sont à manquer sous aucun prétexte.