Frédérique Constant la joue glam-rock avec sa Classics Manchette
L’horlogerie donne-t-elle parfois l’impression de tourner en rond ? Frédérique Constant lui offre une remise au carré ! Avec la réédition de sa Manchette, que l’on avait plus vue en collection depuis plus de 20 ans, la Manufacture genevoise offre une interprétation glam rock et sexy de la montre-bracelet…
Ce modèle incontournable de la saison, et un de nos coups de cœur sur le salon Watches & Wonders 2025 est donc une délicate manchette frappée d’un motif Clou de Paris, dont le carré est repris sur le cadran, lui aussi carré, habillé de quatre variations adaptées à toutes les envies : une version sertie, deux minérales (malachite et onyx) et une en acier mat.
La Manchette est l’un des accessoires phares des années 80. Montre icône d’une époque qui se permettait toutes les audaces, elle incarne une horlogerie décomplexée, libre. On ne parle pas ici de complication ni d’exclusivité. On parle au contraire de légèreté, d’impertinence. Pas d’essentiel, mais d’accessoire. Pas de tradition, mais de rébellion. Un air du temps et une conception de la vie et de la mode que Frédérique Constant avait su raviver avec éclat au début des années 2000.
La Manchette est aujourd’hui de retour en collection sous le nom de Classics Manchette. Elle est avant tout un bracelet qui donne l’heure. Souple et délié, il se compose de sept maillons. Fermement arrimé au poignet pour résister au tumulte des dancefloors, il s’offre une boucle déployante intégrée, donc invisible.
Un clou et quatre cadrans
Ici, le style prime. Frédérique Constant n’a donc fait aucune concession. Le motif « Clou de Paris » habille toute la montre d’une myriade de carrés scintillants et polis, avec finition brossée au sommet de chaque maillon. En leur centre se niche un discret cadran survolé des seules aiguilles des heures et minutes.
Sensible à l’air du temps, Frédérique Constant répond présent au grand retour des cadrans minéraux, en leur dédiant la moitié de ses nouvelles Classics Manchette. La première se pare du vert marmoréen de la malachite, traversé d’ondes plus ou moins contrastées. La seconde lui préfère le noir absolu de l’onyx, qui absorbera la quasi-totalité de la lumière pour ne laisser s’échapper que le poli miroir, à la main, des deux délicates aiguilles bâton.
Les deux autres versions jouent une partition opposée, monochromatique. Pour habiller une manchette en acier poli, elles choisissent d’une part le vif éclat de 158 diamants sertis ou, d’autre part, la finesse ton sur ton d’un cadran blanc mat orné de chiffres romains, dans une perspective plus horlogère. Chaque pièce est animée par le même calibre FC-200 à quartz, garant de 60 mois d’autonomie…
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